1. |
intro
00:46
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2. |
un doute
04:05
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Un doute
J'ai comme un doute
Tu sais depuis
Que cette route
m'a engloutie
Ce que ça coûte
D'avoir envie
De château, de voûtes
De perles de pluie
Même si parfois
On se fait mal
Rien dans tout ça
N'est anormal
Je sais parfois
on se fait mal
Décider du sort
Qu'on va se jeter
puis perdre le nord
A chaque bouée
Trouver l'idée
Demande un effort
Juste y penser
nous rend plus fort
Même si parfois
On se fait mal
Rien dans tout ça
N'est anormal
Je sais parfois
on se fait mal
Rien dans tout ça
N'est anormal
Et sans un bruit
On reste là
Comme si le temps
N'existait pas
Suis je le fruit
De mes effrois
Suis-je en avance
Sur mes pas
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3. |
à ton égard
02:57
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A Ton Egard
Au fond de moi je ressens
Comme une petite attention
A ton égard
Je ne l’explique pas c’est venu comme ça
D’un coup d’un seul je ne veux que toi
Et ton regard
A chaque fois que je te regarde
Je ne peux pas résister
A ton charme
Je m’imagine vivre avec toi
Me réveiller auprès de toi
Mon ange !
Tu es celle en qui je crois
Et qui elle aussi, oui, croit en moi
Quelle chance !
A chaque fois que je te regarde
Je ne peux pas résister
A ton charme
A chaque fois que je te regarde
Je ne peux pas résister
A ton charme
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4. |
prélude
00:55
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5. |
développer le mouvement
03:46
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Développer le mouvement
Développer le mouvement pour s'embraser
Finir par se noyer dans des pensées
De quoi est-il question ?
D'ennui ou de passion ?
Développer le mouvement puis s'embrasser
Finir par se vider de ses pensées
De quoi est-il question ?
De fruits ou de pression ?
Je te regarde encore
Et même si tu dors
On est si bien
Je souris oui de mon sort
Et m'allonge près de ton corps
Tu prends le mien
Eponger les traces de nos blessures
Qui jamais n’ atteignent la structure
Se faire une raison
De vie ou de passion
Je te regarde encore
Et même si tu dors
On est si bien
Je souris oui de mon sort
Et m'allonge près de ton corps
Tu prends le mien
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6. |
élixir
04:30
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Elixir
Revenir en arrière
Ouvrir tes yeux
Revoir toutes ces images
De cette soirée malheureuse
Et puis tu regrettes
Tous ces mauvais gestes
Inspirés d’un seul
Verre bu toute seule
Boite à jolis garçons
Plein d’alcool à foison
T’en oublie ta raison
Elixir ou poison ?
Tu t’attardes sur ce verre
Rempli d'illusion
De breuvage en breuvage
Tu te lâches à tes amants
De bonjour à amour
Tu y vas sans détour
Un verre à la main
Tu perds ton chemin
Boite a jolis garçons
Plein d’alcool à foison
T’en oublies ta raison
Elixir ou poison ?
Accostée par un garçon
Qui bien sûr lui aussi
Sourit d’allusion
La faute à foison
Apollon a tes yeux
Imbibé d’illusion
Intimité perdue
Tu en perds la raison
Boite à jolis garçons
Plein d’alcool à foison
T’en oublies ta raison
Elixir ou poison ?
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7. |
reste
03:42
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Reste
Se retrouver à penser
Mais pourquoi - maintenant ?
à ces accrocs du passé
gratter le - revêtement
découvrir la peau blessée
que brûle - le vent
ce qui a déjà fait pleurer
il y a un - certains temps
dis moi que tout aujourd'hui
se passera pour le mieux
reste là oui je t'en prie
amuses toi, devenons vieux
écrivons toutes nos envies
sans fermer les yeux
tu me froisses comme du papier
(mais) il n'est - pas blanc
après ce que nous avons traversé
oui pourquoi - maintenant ?
même la neige de ce côté
couleur - rouge sang
ne tarde pas à sublimer
les coups du temps
dis moi que tout aujourd'hui
se passera pour le mieux
reste là oui je t'en prie
amuses toi, devenons vieux
écrivons toutes nos envies
sans fermer les yeux
Oui maintenant
Pourquoi maintenant ?
Oui maintenant
Pourquoi maintenant ?
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8. |
l'inconnu
04:17
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L’inconnu
Une peur que l’on croit forte
Un geste une phrase qui nous emporte
souffle court et main tremblante
et ces instants réconfortants
Puisque je sonne à ta porte
Et que l’heure est venue
Puisque toi et ta cohorte
Font de moi un inconnu
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
Ou c’est juste moi ?
Tu me voyais tellement venir
Certains m’aime et me respire
Dans mon sillage
Et bien pire
Tout ce qu’il faut pour se détruire
Puisque je sonne à ta porte
Et que l’heure est venue
Puisque toi et ta cohorte
Font de moi un inconnu
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
Ou c’est juste moi ?
Les mots les gestes sont dérisoires
Une simple erreur de trajectoire
Si après ça restent les remords
Qui de nous deux vivra encore ?
Puisque je sonne à ta porte
Et que l’heure est venue
Puisque toi et ta cohorte
Font de moi un inconnu
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
C’est moi qui te supplie, qui te pollue.
Ou c’est juste ma perte qui nous défie, qui nous sublime ?
Ou c’est juste moi ?
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Beaurevoir Brest, France
Des horizons colorés, une voix enveloppante et un brin éraillée, mélancolique et vibrante. Les univers sont aériens ou plus terre à terre et incisifs. Les morceaux du groupe dévoilent des voyages intérieurs : un miroir simple des tourments ou une allégorie du fracas quotidien. Un précieux refuge musical où le groupe puise ses influences chez Temper Trap, Interpol ou encore Baden Baden. ... more
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